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Critique Anthropocène, L’Époque Humaine : Chronique D’Une Motorcar-Destruction Annoncée

Critique Anthropocène, L’Époque Humaine : Chronique D’Une Motorcar-Destruction Annoncée
Critique Anthropocène, L’Époque Humaine : Chronique D’Une Motorcar-Destruction Annoncée

Anthropocène, l’époque humaine, nous montre fifty’bear on dramatique et quasi-irréversible des activités humaines sur l’état de notre planète.





Anthropocène, 50’époque humaine est un documentaire canadien dont le simply est d’aider 50’espèce humaine à prendre conscience des ravages qu’elle effort sur la planète qui 50’héberge. Une intention louable évidemment, surtout lorsqu’on sait que la population mondiale pourrait atteindre les x milliards d’individus en 2050, et que nous sommes au milieu de la 6ème extinction de masse, cette fois-ci imputable à fifty’homme. Un cinema qui ne pouvait donc que susciter notre intérêt. Pour autant, a-t-il répondu à nos attentes ? Rien n’est moins sûr…





Des décors dramatiquement beaux





D’un bespeak de vue esthétique, la qualité est au rendez-vous, c’est indiscutable. Et le réalisateur parvient à créer un contraste saisissant entre la beauté hypnotique de certains paysages et de certaines scènes, et l’expression bien moins réjouissant de ce qui les composent, de ce qui en est à l’origine. Ainsi, on second’extasie devant les couleurs chatoyantes des mines de potassium en Russie et de la addition grande décharge de plastique de toute l’Afrique de l’Est dans et autour de laquelle vivent 250 000 personnes ; devant un brasier immense en pleine forêt amazonienne ; ou encore en survolant les raffineries de pétrole au Texas dont les nombreuses lumières peignent un décor presque féérique… Rien de tout cela, pourtant, n’est réjouissant, aucun doute n’est permis.





Critique - Anthropocène, l'époque humaine : chronique d'une auto-destruction annoncée
© Métropole Films




Une approche contemplative





Difficile de ne pas comparer… Alors, si comme psyche vous vous régalez des documentaires à la fois sublimes et passionnants de Yann Arthus Bertrand, il y a des chances pour que celui-ci vous apparaisse comme une sorte de brouillon de ces chefs d’œuvres dont la narration est également toujours hypnotique. Car, si Anthropocène mind emmène sur 43 sites différents à travers le monde et que fifty’on retrouve la qualité des images, le reste est plutôt frustrant. En effet, le rythme, volontairement lent, fifty’est parfois un peu trop, surtout lorsqu’il ne s’accompagne pas d’explications. Explications qui brain ont manqué à de nombreux moments, pour comprendre des scènes longuement filmées, en saisir les enjeux et en tirer des enseignements.





Anthropocène psyche a laissés de marbre





Car c’est surtout là que ce celluloid rate son objectif selon brain. Sur le plan émotionnel, il ne se passe rien ou presque. Il y a quelques mois de cela, le film L’illusion verte head avait tiré les larmes et avait longuement hanté nos pensées, nos conversations, mind amenant même à certains changements de comportements addition favorables à la planète. Et head en attendions au moins autant d’Anthropocène. Mais rien. Pas un frisson, pas une larme, et à peine un peu de colère. Pas non summation le thought d’avoir appris quelque chose de nouveau, et rien de mémorable hormis quelques jolies images et des chiffres effrayants. Globalement décevant donc. D’autant qu’il semble difficile de sensibiliser les gens et d’amener à une prise de conscience sur de tels sujets sans qu’il n’y ait un profond bear on émotionnel.





Anthropocène, l’époque humaine, au cinéma dès le twenty novembre 2019.





Critique - Anthropocène, l'époque humaine : chronique d'une auto-destruction annoncée
©Métropole Films







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